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Mateja Matevski HOMMAGE A LUAN STAROVA Dans son large curiosité littéraire pour l’homme dans les espaces balcaniques, et plus large, Luan Starova se meut dés leurs abimes historiques et existentiels à leurs vagabondages vers leur bon et beauté. Annoncé avec les singuliers et miraculeux « Les livres de mon père » , creusant dans les paysages mythiques et historiques du passé, dans les anciennes sygiles et annales des temps, La Sague balcanique de Starova scelle profondement son attention dans notre contemporanéité macédoienne et balcanique, dans son destin, dans son, comme il l’appelle « Temp des chèvres » . Comme son ami et collégue je suis attentivement et avec amour et admiration son activité de poète, essayste et prosateur, de professeur universitaire, publiciste et diplomate, un chemin créateur de succés exptionel qui impresionne avec son anépuisable effort, érudition et talent. Son premier roman « Le temps des chèvres » découvre et atteste son profond et subtil sens de La Sienne et de la notre contemporanéité. Le motif est un thème très actue dans les nouvelles circostances socio-politiques après la Seconde guerre mondialle, quand l’exaltation et l’effort de création d’une nouvelle société socialiste, plus équitée et plus humaine, tombent dans une erreur et répression idéologique et politique et s’enbourbent dans la boue de la stupidité byrocratique et ignorance idéologique et politique. Dans telle erreur ce sont les chevres qui menacent la vie de la foret et l’avenir de la société. Condamné à l’extermination impitoyable, avec leur disparition elles lessent l’homme affamé encore plus profondement dans l’abime existentiel. Luan Starova construit sa métaphore littéraire avec les messages universelles d’une véritable mesure critique et avec une discerète et subtile observation ironique. Dans sa prose vivent largement éclairées les erreurs et les absurdités d’un temps déchiré de grands contradictions, un temps qui est derrière nous déjà, mais qui nous rappele, nous, les contemporains, et pas seulement nous, aux tentations qui peuvent nous apporter la bétise de l’homme, l’ignorance et la rigidité ideologique et politique, meme si elles sont parfois stimulées et semées avec des illusions sinceres et de bons intentions. La Sague balcanique a introduit Luan Starova dans le cercle d’auteurs des espaces balcaniques – comme Andric, Krleza, Selimovic, Kis, Kazankis, Janevski, Kadaré, Andreevski, Georgievski et d’autres seux qui, avec une large prise littéraire ont découvert et décourent toujours au monde la vivante, dynamique dramatique et tragique mosaique balcanique, avec tout ses phénomènes historiques, socials et culturels. Ecrivain macédonien d’origine albanaise, dans l’espace balcanique si compliqué et riche, un écrivain et intellèctuel de formation et de découvrir d’une manière encore plus profonde et complette la vérité de son temps. Avec son roman « Le temps des chévres » Luan Starova entra par une grande porte dans notre littérature et commenca sa successible italienne, dans le pays à la quelle il est tant profondement lié comme intellectuel et comme homme. Madame et Monsieurs, chèrs amis, avec ces modestes paroles d’admiration et d’amour je félicite à Luan et à Son éditeur respecté cette belle journèe napolitaine. Torna indietro |
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